toupour le zooh

recommandé : le site "révolution fiscale"

  J'ai trouvé sur internet un site très sérieux qui vous permet, grâce à des spécialistes de la fiscalité, de connaître de nouvelles propositions pour l'établissement de l'impôt sur le revenu, et, cerise sur le gâteau de simuler vos propres propositions de répartition grâce à un logiciel facile d'utilisation


Un contact, dont j'ai usé (voir texte ci-dessous) permet de leur envoyer les remarques que vous pourrez faire sur certaines propositions. Dans tous les cas, le logiciel pourra au moins servir aux hommes et femmes politiques et les mettre en face de chiffres et de choix.

 

L'adresse du site :

                               http://www.revolution-fiscale.fr/contact

 

Voici mes remarques

- le système des tranches, à une époque de calcul sur ordinateur, me semble archaïque et toujours injuste : passer de 0 à 2%, passe encore, mais de 2 à 10% conduit à des injustices que redoublent les systémes de plancher/plafond adotpé pour les diverses allocation (logement, bourse etc.°
Je propose donc un système par "tranches continues", par degré de 1%: les matheux doivent pouvoir produire un logiciel de ce genre.


- la TVA est un  système qui pénalise les consommateurs des petits et moyens salaires : on peut admettre que sur un SMIC, en moyenne 10 à 15% sont ponctionnés à ce niveau, ce qui est plus que votre deuxième tranche de revenus
Ne faudrait-il pas créer une sorte de "crédit d'impôt" où, sur le modèle du bouclier fiscal, l'Etat rende de l'argent du trop-payé TVA aux salariés dont les revenus sont les plus bas?

 

- Que faut-il intégrer dans les revenus? Je propose que tous les revenus apparaissent dans les revenus (quite à la coefficienter par degré de1%) de façon à supprimer des injustices et donc des jalousies qui alimentent les discours politiques, notamment  sur des bases ethniques et/ou religieuses: en effet, certaines familles, à la limite supérieure, se voient refuser des avantages et finissent à avoir un revenu réel moindre que des voisins avec des salaires inférieurs et des revenus au final supérieur. J'ai vu des ouvriers refuser des promotions méritées par peur de se voir supprimer des avantages à la suite d'une augmentation minime de leur salaire.Et des enfants limités dans leurs études, trop chères, alors que leurs copains, boursiers, pouvaient continuer leurs études dans de "bonnes" conditions (en tout cas meilleures)

Il va de soi que l'intégration de tous les revenus remet en question tout le système actuel : des simulations devraient être faites pour éviter de pénaliser des familles qui sont actuellement dans la tranche 0 et dont les revenus "sociaux" sont comptés actuellement "hors revenus" (ce qui est , à l'autre bout de l'échetlle, le cas de certains revenus des privilégiés).

 

- le calcul du prix de vente des produits mériterait aussi ananlyse et correction. Actuellement, la position de l'Etat est ambiguë. D'un côté, il lui est préférable que les produits soient chers, puisqu'il prélève la TVA sur le prix en magasin. D'un autre côté, il encourage les délocalisation qui permettent d'importer des prix à bas coûts (mais de qualité moindre et parfois dangereux) pour n'avoir pas à conduire une politique d'augmentation des salaires (interdite par le MEDEF), la baisse de certains prix  (textiles, electroménager, jouets...)compensant sensiblement la baisse réelle des salaires.

Je propose de revoir la construction des pris des produits - il est anormal qu'une différence entre un produit made in France et une produit asiatique soit de 2 euros sortie port ou usine, et qu'elle apparaisse de 4 à 5 fois supérieure en rayon) : les fourchettes entre le prix de revient et le prix de vente devrait être limité et surveillé

Je propose que tous la TVA soit calquée sur la TVA carburant, qui permet, avec la TIPP (dont on ne parle plus, bizarrement)

dont une partie serait mobile et permettrait au gouvernement de jouer sur le prix à la baisse.

Enfin, j'imagine qu'il serait facile, par décret, d'obliger à faire redescendre le prix de vente d'un produit de base  chaque fois que son prix de revient baisse : ce n'est pas le cas du pain, dont l'augementation en boulangerie reproduit tous les défauts du système, le pain augmentant régulièrement dans une proposrtion qui n'a rien à voir avec le prix du blé.



21/01/2011
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