toupour le zooh

Propositions aux écologistes de tous bords

J’ai pendant quelque temps délaissé mes petites chroniques diffusées sur radio déclic et sur mon blog. J’étais fort occupé à les adapter aux différents formats du Grand Débat dont on peut mesurer surtout la longueur – à défaut de hauteur- tant la montagne accoucha d’une souris.

Une souris dont je fus l’un des accoucheurs, sans vraiment imaginer que mes propositions – impôts sans plafonds ni planchers ; pas de double peine pour les excès de vitesse ; amendes en proportion de la vitesse et des revenus etc.

 

Aujourd’hui j’ai repris mon activité de chroniqueur sur internet avec deux articles dont l’un restera encore quelque temps dans mes cartons, tant le sujet est sensible actuellement, qui analyse la politique de Trump au Proche-Orient, avec la proximité d’une guerre USA/Iran nécessaire à la réélection du Président de la première iddémoratie du monde libre. L’objet de mon article étant la possession de l’arme nucléaire – un cadeau de la France à Israel. Le nœud de l’affaire.

 

Ce qui me préoccupe après la lecture des quotidiens et hebdos du moment, c’est la position encore une fois confuse de l’écologie dans le scrutin qui nous occupe : les élections européennes.

Tous les partis présentent un volet écologique, entendu qu’il faut sauver la planète et donc commencer par donner l’exemple en Europe. Bien sûr la plupart des habitants – une bonne moitié des 7 milliards de notre vieille terre- sont déjà écolos : vu ce qu’ils consomment, on ne pourra pas les accuser de mettre en péril les équilibres naturels, sinon par des imprudences paysannes ancestrales.

 

On peut aussi argumenter que la population de ces pays augmente plus vite que celle des pays pollueurs, c’est vrai. Mais il y une marge et je parie qu’un couple de people voyageant régulièrement en avion pollue beaucoup plus qu’un village de 2000 habitants au Mali, fut-ce-t-il à 5 enfants par femme.

 

Vous me direz qu’à terme si la natalité des pays industrialisés continue à tourner autour de 1,5 enfants par couple, il n’y aura pas lieu de s’inquiéter. Simplement parce que les populations indigènes de nos régions aurons disparues dans une cinquantaine d’années faute d’enfants.

 

Pour revenir à nos écolos – on ne pourra mesurer que dans quelques années les erreurs qu’ils ont commises, à mélanger la cause palestinienne, les défis industriels et la cause écologique – puisqu’ils ont maintenant essaimé dans tous les partis - on pourra les soupçonner d’ambitions, d’arrivisme, de compromissions etc sans nuire à leurs convictions – maintenant que la cause écologique est partout même dans les esprits les plus sceptiques – même si certains le cachent -, pourquoi ne pas faire front commun et proposer un programme minimum commun à tous les partis politiques sur cette question cruciale du sauvetage de la planète ?

 

Imaginons un e sorte de conclave – une réunion de responsables sans autre possibilité de sortie que par un accord- où chaque parti apporterait un dossier. Les échanges, dont on peut imaginer toutes formes, de la rencontre à deux à la réunion plénière, le tout avec une marge de manœuvre suffisante dans le temps et dans l’espace. On peut yfaire venir des intervenants externes, acceptés à la majorité absolue. On se donne du temps avant les prochaines législatives par ex.

Et le conclave – fumée blanche- accouche d’un troncommun écologique pour tous les partis en accord. Les autres présentent les raisons de leur refus de l’accord, c’est tout.

 

Et aux prochaines élections, le tronc commun devient l’axe écologique autour duquel peuvent s’agglutiner d’autres propositions.

Voilà, c’est tout.

J’ai pendant quelque temps délaissé mes petites chroniques diffusées sur radio déclic et sur mon blog. J’étais fort occupé à les adapter aux différents formats du Grand Débat dont on peut mesurer surtout la longueur – à défaut de hauteur- tant la montagne accoucha d’une souris.

Une souris dont je fus l’un des accoucheurs, sans vraiment imaginer que mes propositions – impôts sans plafonds ni planchers ; pas de double peine pour les excès de vitesse ; amendes en proportion de la vitesse et des revenus etc.

 

Aujourd’hui j’ai repris mon activité de chroniqueur sur internet avec deux articles dont l’un restera encore quelque temps dans mes cartons, tant le sujet est sensible actuellement, qui analyse la politique de Trump au Proche-Orient, avec la proximité d’une guerre USA/Iran nécessaire à la réélection du Président de la première iddémoratie du monde libre. L’objet de mon article étant la possession de l’arme nucléaire – un cadeau de la France à Israel. Le nœud de l’affaire.

 

Ce qui me préoccupe après la lecture des quotidiens et hebdos du moment, c’est la position encore une fois confuse de l’écologie dans le scrutin qui nous occupe : les élections européennes.

Tous les partis présentent un volet écologique, entendu qu’il faut sauver la planète et donc commencer par donner l’exemple en Europe. Bien sûr la plupart des habitants – une bonne moitié des 7 milliards de notre vieille terre- sont déjà écolos : vu ce qu’ils consomment, on ne pourra pas les accuser de mettre en péril les équilibres naturels, sinon par des imprudences paysannes ancestrales.

 

On peut aussi argumenter que la population de ces pays augmente plus vite que celle des pays pollueurs, c’est vrai. Mais il y une marge et je parie qu’un couple de people voyageant régulièrement en avion pollue beaucoup plus qu’un village de 2000 habitants au Mali, fut-ce-t-il à 5 enfants par femme.

 

Vous me direz qu’à terme si la natalité des pays industrialisés continue à tourner autour de 1,5 enfants par couple, il n’y aura pas lieu de s’inquiéter. Simplement parce que les populations indigènes de nos régions aurons disparues dans une cinquantaine d’années faute d’enfants.

 

Pour revenir à nos écolos – on ne pourra mesurer que dans quelques années les erreurs qu’ils ont commises, à mélanger la cause palestinienne, les défis industriels et la cause écologique – puisqu’ils ont maintenant essaimé dans tous les partis - on pourra les soupçonner d’ambitions, d’arrivisme, de compromissions etc sans nuire à leurs convictions – maintenant que la cause écologique est partout même dans les esprits les plus sceptiques – même si certains le cachent -, pourquoi ne pas faire front commun et proposer un programme minimum commun à tous les partis politiques sur cette question cruciale du sauvetage de la planète ?

 

Imaginons un e sorte de conclave – une réunion de responsables sans autre possibilité de sortie que par un accord- où chaque parti apporterait un dossier. Les échanges, dont on peut imaginer toutes formes, de la rencontre à deux à la réunion plénière, le tout avec une marge de manœuvre suffisante dans le temps et dans l’espace. On peut yfaire venir des intervenants externes, acceptés à la majorité absolue. On se donne du temps avant les prochaines législatives par ex.

Et le conclave – fumée blanche- accouche d’un troncommun écologique pour tous les partis en accord. Les autres présentent les raisons de leur refus de l’accord, c’est tout.

 

Et aux prochaines élections, le tronc commun devient l’axe écologique autour duquel peuvent s’agglutiner d’autres propositions.

Voilà, c’est tout.

 



23/05/2019
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