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petite contribution à la réflexion sur les services publics

Petite contribution à la réflexion sur les services publics et la fonction publique

Je me suis inscrit sur les site du ministère de l'intérieur pour cette coinsultaion publique à la quelle jje vous invite à participer


définition:

J'appellerai Service Public tout service qui tendra à servir chaque citoyen à travers une structure organisée pour l'ensemble de la collectivité. J'y inclus donc : services solidaires (sécurité sociale, caisses de retraire, organismes pour l'emploi...), services administratifs (identité, élections, administration centrale et des collectivités), d'éducation, de culture et de justice etc; mais aussi transports, communications, énergie, armement qui sont des domaines qui restent, même s'ils sont parfois privatisés, du ressort de l'intérêt de la Nation.


PRIVATISATION


Concernant certains services offerts par des entreprises privées (transport, énergie, éducation, culture), autrefois publiques (télécommunications, transport ferré, gaz , électricité), il n'est pas ertain que la privatisation ait apporté un quelqonque « plus » alors que le prétexte de la privatisation était une plus grande efficacité assortie de prix plus bas, concurrence oblige. Sans revenir sur la prvatisation, -l'Etat n'en a plus les moyens- uil faudrait faire en sorte que ces secteurs retournent à une saine administration financièrececi sous le contrôle d'un Etat dont les actions seraient suffisamment importantes pour intervenir dans la politique de l'entreprise, en garantissant prix, emploiS et investissements à long terme.


D'une façon générale, les subventions dont se nourrissent certains secteurs devraient être immédiatement transformées en actions d'Etat, quitte pour le gouvernement à émette autant d'obligation d'Eta que d'actions de contrôle. Les interventions de l'Eta pour aider certains secteurs en difficulté en seraient d'autant plus lisibles et logiques auprès des citoyens-payeurset ceci est d'autant plus vrai pour les secteurs qui ressortent de l'intérêt collectif.


Il est d'ailleurs probable, pour prendre l'exemple des autoroutes, vendus l'an passé et qui étaient gérés par des sociétés mixtes, mais dont les investissements étaient pour l'essentiels collectifs, et, d'une certaine façon, « volés » à l'Etat alors que leur « retour » était prévu dans les biens publics, il est probable donc que ces voies de transport reveindront à la charge des collectivités aussitôt que leurs frais d'entretien dépasseront leurs bénéfices, c'est à dire lorsqu'elles ne seront plus rentables. En d'autre terme, la collectivité les récupérera aussitôt que les investissements reviendront à la collectivité.

Les récentes rétrocession du Parc de Loisirs de Poitiers sont un exemple flagrant de cette ambiguité des rapports avec l'investissement privé : rentable, je me partage les bénéfices; pas rentable, je refourgue aux collectivités.


L'autre exemple, plus aigu, est celui de l'éducation: le marché, d'après les organismes de l'U E, représente des sommes telles (plusieurs centaines de mulliards d'euros) que le massacre en règle par les gouvernement et les médias, sous la pression de lobbys qu'on connaît, ne peut s'explqiquer que par cette voracité pour un marché juteux et contrôlé par la Nation.


D'zauatres exemples des erreurs d'une privatisation sans contrôle des secteurs relevant de l'intérêt collectif : les télécommunications, où la concurrence devaient faire baisser les prix (?) et améliorer les services (?); le gaz, dont l'état ne peut plus contrôler les prix.


SERVICES PUBLICS DE PROXIMITE


Que ce soit dans les banlieues ou à la campagne, la permanence de services publics de proximité est essentielle pour maintenir un tissu social suffisant, en même temps qu'elle garantit, conformément à la constitution, l'égalité devant la loi.

Il paraît incroyable qu'on puisse, en France, discuter de ce maillage sur lequel s'est bâtie notre Démocratie. La volonté du gouvernement actuel de « détricoter » le tissu social en reconstruisant par exemple une carte de la Justice hasardeuse ne peut s'expliquer que par la volonté de détruire l'existant et de déstabiliser les fondements de notre République. Ces tentatives s'appellent parfois « libre concurrence » et s'appuient soi-disant sur des directives européennes. D'autre fois,, il s'agit simplement de priver des zones sans intérêt électoral -banlieues, villages- au profit de zones « postives ».

A ce propos, plutôt que demultiplier les contrles des jeunes gens des banlieues, il serait plus efficaces de contrôler les régions riches des Hauts de Seine- et le milieu des médias - où arrive l'essentiel des cargaisons de drogue venues des poutours parisiens. Pour contrôler un flux, le contrôle de la source ou du port suffit.


Proposition:

Il faut définir l'ensemble des services publics de proximité; ensuite, mettre à plat les moyens -financiers, humains, locaux, communications- qui permettront de les assurer; enfin les regrouper suivant le type et les besoins de la population.


Dans chaque cas, des services communs essentiels peuvent être définis. Ils peuvent être regroupés soit sous un toit existant, public (mairie) soit privé (commerce); ou dans un local à construire adéquatement.


Ils iront du « service minimum » cher à noter Président (qui pourtant le combat avec quelle efficacité hors services des transports, pourquoi?) : identité, état civil, - courrier postal-services sociaux(à approfondir) -, relation avec les administrations...


....aux services essentiels regroupés dans des pôles de compértence (selon découpage): sécurité (gendarmerie ou police)- environnement( dont enlèvement des ordures) – voirie -transports en commun – logement social – communication...


On pourrait imaginer dans le cas des services de base des « unités de service » conçus tant au niveau de l'aménagement que de la formation des personnels comme des structures autonomes, gérées localement – avec les aides financières adéquates- et utilisant, au service du public, les technologie les plus modernes dasns le domaine des télécommunications. Une expérimentation dans des secteurs pilotes types -banlieue, bourg et village – pourraient être mis en place rapidement pour expérimentation



...à suivre

merci, c'est tout pour aujourd'hui



11/12/2007
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