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Covid 19 : retour à la case départ

Retour à la case départ

 

 

 

 

 

 

Ce qu’il y a d’amusant dans les tergiversations gouvernementales – j’ai hésité à employer le mot «  contorsions » - c’est que nous allons nous retrouver le 11 mai dans la même situation – sinon pire- qu’à la mi-février.

Amusant et tragique à la fois, tant le comique et la farce sont proches quand le seul moyen de la supporter est de faire un écart salutaire devant la catastrophe.

Pour la regarder être.

J’ai pleuré jusqu’à mes 12 ans devant les malheurs de Laurel.

Et j’ai toujours un pincement au coeur quand je ris de ses mésaventures.

 

 

 

Donc le 11 mai, déconfinement , masques, gestes barrières etc.

Masques surtout, qui nous auraient évité la catastrophe sanitaire et sociale des premiers mois, n’en déplaise à mme Sybeth.

 

 

 

Combien de lits en hôpital et de places en réanimations seront libres à cette date du 11 mai. Il est trop tôt pour le dire.

Il n’est pas certain qu’il y en ait plus que début mars.

 

 

 

Avec cet avantage pour l’équipe Macron que les morts ne pourront pas mourir deux fois et que du côté des EHPAD, on peut dire que le pire- c’est à dire l’écrêtage statistique- sera passé.

 

 

 

Il ne faut pas compter sur l’auto-vaccination – le « matelas » de séro-positifs collectif – même en multipliant par 10 le nombre de personnes séro-positives au virus au 11 mai.

Il faut espérer pour les soignants que les mesures prises d’un déconfinement progressif et adéquat puisse leur permettre de se reposer. Et que les habitants des grandes villes puissent migrer – au moins ceux qui ne seront pas au travail – dans des régions préservées (ce que firent heureusement de nombreux habitants de la région parisienne en fuyant leur région aux hôpitaux saturés en mars) où les conditions d’admissions et de soins hospitaliers restent largement positifs.

 

 

 

Et que faire, si on les tests positifs, des porteurs-sains dont il apparaît qu’ils sont plus nombreux que prévus ?

 

 

 

On voit que l’équation n’est pas simple et que les mesures prises pendant le confinement l’étaient uniquement pour freiner l’arrivée des cas graves -les autres sont restés chez eux – dans les hôpitaux, pas du tout préparés, malgré les alertesrépétées de certains spécialistes. Notamment celle en 2016 du alors conseiller de m. Macron en matière de santé publique M. Salomon, bien connu depuis !

Si gouverner, c’est prévoir, nous sommes là devant un cas d’incompétences des plus hautes autorités- j’en exclus les élus de terrain, trompés une fois de plus par les technostructures, les énarques sont partout, j’imagine que même la dame-pipi (ou le monsieur) de l’Assemblée Nationale est sortie de l’ENA.

Et le Bureau des Légendes des Services Secrets français (la DGSE)- pas plus que ceux des autres pays occidentaux, CIA compris- n’a su envoyer ses meilleurs agents en Chine puisque aucune information concernant le virus qui courait là-bas au moins depuis décembre 2019 ne leur est parvenue.

Un fiasco à étages !

 

 

 

Les écrivains de SF qui se sont déjà penchés sur le problème bien avant la catastrophe vont se régaler, tout comme les scénaristes de série qui ont là matière à méditer.

 

 

 

Edouard Philippe en maître timonier barbu d’un navire dont il ne connaît ni le pilotage, ni l’équipage (pas de harponneurs ni de flèches) et qui hésite entre bâbord et tribord (la droite ou la gauche ?), sorte d’avatar incertain de Nemo, pas le poisson du dessin animé mais le capitaine du Nautilus, mollusque céphalopode avant d’être le sous-marin de Jules Verne ; Emmanuel Macron, fidèle à son personnage balzacien de jeune premier de la classe pris dans son costume de communiant-communiquant, entre Jupiter et Mercure, entre de Gaulle et Giscard d’Estaing, puisant de l’un la posture historique du Grand Homme, de l’autre des manières de petit marquis vendant des cravates à la sauvette.

 

 

 

L’équipage est à la mesure du tandem et à l’échelle du fiasco.

Retour à la case départ

 

 

 

 

 

 

Ce qu’il y a d’amusant dans les tergiversations gouvernementales – j’ai hésité à employer le mot «  contorsions » - c’est que nous allons nous retrouver le 11 mai dans la même situation – sinon pire- qu’à la mi-février.

Amusant et tragique à la fois, tant le comique et la farce sont proches quand le seul moyen de la supporter est de faire un écart salutaire devant la catastrophe.

Pour la regarder être.

J’ai pleuré jusqu’à mes 12 ans devant les malheurs de Laurel.

Et j’ai toujours un pincement au coeur quand je ris de ses mésaventures.

 

 

 

Donc le 11 mai, déconfinement , masques, gestes barrières etc.

Masques surtout, qui nous auraient évité la catastrophe sanitaire et sociale des premiers mois, n’en déplaise à mme Sybeth.

 

 

 

Combien de lits en hôpital et de places en réanimations seront libres à cette date du 11 mai. Il est trop tôt pour le dire.

Il n’est pas certain qu’il y en ait plus que début mars.

 

 

 

Avec cet avantage pour l’équipe Macron que les morts ne pourront pas mourir deux fois et que du côté des EHPAD, on peut dire que le pire- c’est à dire l’écrêtage statistique- sera passé.

 

 

 

Il ne faut pas compter sur l’auto-vaccination – le « matelas » de séro-positifs collectif – même en multipliant par 10 le nombre de personnes séro-positives au virus au 11 mai.

Il faut espérer pour les soignants que les mesures prises d’un déconfinement progressif et adéquat puisse leur permettre de se reposer. Et que les habitants des grandes villes puissent migrer – au moins ceux qui ne seront pas au travail – dans des régions préservées (ce que firent heureusement de nombreux habitants de la région parisienne en fuyant leur région aux hôpitaux saturés en mars) où les conditions d’admissions et de soins hospitaliers restent largement positifs.

 

 

 

Et que faire, si on les tests positifs, des porteurs-sains dont il apparaît qu’ils sont plus nombreux que prévus ?

 

 

 

On voit que l’équation n’est pas simple et que les mesures prises pendant le confinement l’étaient uniquement pour freiner l’arrivée des cas graves -les autres sont restés chez eux – dans les hôpitaux, pas du tout préparés, malgré les alertesrépétées de certains spécialistes. Notamment celle en 2016 du alors conseiller de m. Macron en matière de santé publique M. Salomon, bien connu depuis !

Si gouverner, c’est prévoir, nous sommes là devant un cas d’incompétences des plus hautes autorités- j’en exclus les élus de terrain, trompés une fois de plus par les technostructures, les énarques sont partout, j’imagine que même la dame-pipi (ou le monsieur) de l’Assemblée Nationale est sortie de l’ENA.

Et le Bureau des Légendes des Services Secrets français (la DGSE)- pas plus que ceux des autres pays occidentaux, CIA compris- n’a su envoyer ses meilleurs agents en Chine puisque aucune information concernant le virus qui courait là-bas au moins depuis décembre 2019 ne leur est parvenue.

Un fiasco à étages !

 

 

 

Les écrivains de SF qui se sont déjà penchés sur le problème bien avant la catastrophe vont se régaler, tout comme les scénaristes de série qui ont là matière à méditer.

 

 

 

Edouard Philippe en maître timonier barbu d’un navire dont il ne connaît ni le pilotage, ni l’équipage (pas de harponneurs ni de flèches) et qui hésite entre bâbord et tribord (la droite ou la gauche ?), sorte d’avatar incertain de Nemo, pas le poisson du dessin animé mais le capitaine du Nautilus, mollusque céphalopode avant d’être le sous-marin de Jules Verne ; Emmanuel Macron, fidèle à son personnage balzacien de jeune premier de la classe pris dans son costume de communiant-communiquant, entre Jupiter et Mercure, entre de Gaulle et Giscard d’Estaing, puisant de l’un la posture historique du Grand Homme, de l’autre des manières de petit marquis vendant des cravates à la sauvette.

 

 

 

L’équipage est à la mesure du tandem et à l’échelle du fiasco.

Retour à la case départ

 

 

 

 

 

 

Ce qu’il y a d’amusant dans les tergiversations gouvernementales – j’ai hésité à employer le mot «  contorsions » - c’est que nous allons nous retrouver le 11 mai dans la même situation – sinon pire- qu’à la mi-février.

Amusant et tragique à la fois, tant le comique et la farce sont proches quand le seul moyen de la supporter est de faire un écart salutaire devant la catastrophe.

Pour la regarder être.

J’ai pleuré jusqu’à mes 12 ans devant les malheurs de Laurel.

Et j’ai toujours un pincement au coeur quand je ris de ses mésaventures.

 

 

 

Donc le 11 mai, déconfinement , masques, gestes barrières etc.

Masques surtout, qui nous auraient évité la catastrophe sanitaire et sociale des premiers mois, n’en déplaise à mme Sybeth.

 

 

 

Combien de lits en hôpital et de places en réanimations seront libres à cette date du 11 mai. Il est trop tôt pour le dire.

Il n’est pas certain qu’il y en ait plus que début mars.

 

 

 

Avec cet avantage pour l’équipe Macron que les morts ne pourront pas mourir deux fois et que du côté des EHPAD, on peut dire que le pire- c’est à dire l’écrêtage statistique- sera passé.

 

 

 

Il ne faut pas compter sur l’auto-vaccination – le « matelas » de séro-positifs collectif – même en multipliant par 10 le nombre de personnes séro-positives au virus au 11 mai.

Il faut espérer pour les soignants que les mesures prises d’un déconfinement progressif et adéquat puisse leur permettre de se reposer. Et que les habitants des grandes villes puissent migrer – au moins ceux qui ne seront pas au travail – dans des régions préservées (ce que firent heureusement de nombreux habitants de la région parisienne en fuyant leur région aux hôpitaux saturés en mars) où les conditions d’admissions et de soins hospitaliers restent largement positifs.

 

 

 

Et que faire, si on les tests positifs, des porteurs-sains dont il apparaît qu’ils sont plus nombreux que prévus ?

 

 

 

On voit que l’équation n’est pas simple et que les mesures prises pendant le confinement l’étaient uniquement pour freiner l’arrivée des cas graves -les autres sont restés chez eux – dans les hôpitaux, pas du tout préparés, malgré les alertesrépétées de certains spécialistes. Notamment celle en 2016 du alors conseiller de m. Macron en matière de santé publique M. Salomon, bien connu depuis !

Si gouverner, c’est prévoir, nous sommes là devant un cas d’incompétences des plus hautes autorités- j’en exclus les élus de terrain, trompés une fois de plus par les technostructures, les énarques sont partout, j’imagine que même la dame-pipi (ou le monsieur) de l’Assemblée Nationale est sortie de l’ENA.

Et le Bureau des Légendes des Services Secrets français (la DGSE)- pas plus que ceux des autres pays occidentaux, CIA compris- n’a su envoyer ses meilleurs agents en Chine puisque aucune information concernant le virus qui courait là-bas au moins depuis décembre 2019 ne leur est parvenue.

Un fiasco à étages !

 

 

 

Les écrivains de SF qui se sont déjà penchés sur le problème bien avant la catastrophe vont se régaler, tout comme les scénaristes de série qui ont là matière à méditer.

 

 

 

Edouard Philippe en maître timonier barbu d’un navire dont il ne connaît ni le pilotage, ni l’équipage (pas de harponneurs ni de flèches) et qui hésite entre bâbord et tribord (la droite ou la gauche ?), sorte d’avatar incertain de Nemo, pas le poisson du dessin animé mais le capitaine du Nautilus, mollusque céphalopode avant d’être le sous-marin de Jules Verne ; Emmanuel Macron, fidèle à son personnage balzacien de jeune premier de la classe pris dans son costume de communiant-communiquant, entre Jupiter et Mercure, entre de Gaulle et Giscard d’Estaing, puisant de l’un la posture historique du Grand Homme, de l’autre des manières de petit marquis vendant des cravates à la sauvette.

 

 

 

L’équipage est à la mesure du tandem et à l’échelle du fiasco.

Retour à la case départ

 

 

 

 

 

 

Ce qu’il y a d’amusant dans les tergiversations gouvernementales – j’ai hésité à employer le mot «  contorsions » - c’est que nous allons nous retrouver le 11 mai dans la même situation – sinon pire- qu’à la mi-février.

Amusant et tragique à la fois, tant le comique et la farce sont proches quand le seul moyen de la supporter est de faire un écart salutaire devant la catastrophe.

Pour la regarder être.

J’ai pleuré jusqu’à mes 12 ans devant les malheurs de Laurel.

Et j’ai toujours un pincement au coeur quand je ris de ses mésaventures.

 

 

 

Donc le 11 mai, déconfinement , masques, gestes barrières etc.

Masques surtout, qui nous auraient évité la catastrophe sanitaire et sociale des premiers mois, n’en déplaise à mme Sybeth.

 

 

 

Combien de lits en hôpital et de places en réanimations seront libres à cette date du 11 mai. Il est trop tôt pour le dire.

Il n’est pas certain qu’il y en ait plus que début mars.

 

 

 

Avec cet avantage pour l’équipe Macron que les morts ne pourront pas mourir deux fois et que du côté des EHPAD, on peut dire que le pire- c’est à dire l’écrêtage statistique- sera passé.

 

 

 

Il ne faut pas compter sur l’auto-vaccination – le « matelas » de séro-positifs collectif – même en multipliant par 10 le nombre de personnes séro-positives au virus au 11 mai.

Il faut espérer pour les soignants que les mesures prises d’un déconfinement progressif et adéquat puisse leur permettre de se reposer. Et que les habitants des grandes villes puissent migrer – au moins ceux qui ne seront pas au travail – dans des régions préservées (ce que firent heureusement de nombreux habitants de la région parisienne en fuyant leur région aux hôpitaux saturés en mars) où les conditions d’admissions et de soins hospitaliers restent largement positifs.

 

 

 

Et que faire, si on les tests positifs, des porteurs-sains dont il apparaît qu’ils sont plus nombreux que prévus ?

 

 

 

On voit que l’équation n’est pas simple et que les mesures prises pendant le confinement l’étaient uniquement pour freiner l’arrivée des cas graves -les autres sont restés chez eux – dans les hôpitaux, pas du tout préparés, malgré les alertesrépétées de certains spécialistes. Notamment celle en 2016 du alors conseiller de m. Macron en matière de santé publique M. Salomon, bien connu depuis !

Si gouverner, c’est prévoir, nous sommes là devant un cas d’incompétences des plus hautes autorités- j’en exclus les élus de terrain, trompés une fois de plus par les technostructures, les énarques sont partout, j’imagine que même la dame-pipi (ou le monsieur) de l’Assemblée Nationale est sortie de l’ENA.

Et le Bureau des Légendes des Services Secrets français (la DGSE)- pas plus que ceux des autres pays occidentaux, CIA compris- n’a su envoyer ses meilleurs agents en Chine puisque aucune information concernant le virus qui courait là-bas au moins depuis décembre 2019 ne leur est parvenue.

Un fiasco à étages !

 

 

 

Les écrivains de SF qui se sont déjà penchés sur le problème bien avant la catastrophe vont se régaler, tout comme les scénaristes de série qui ont là matière à méditer.

 

 

 

Edouard Philippe en maître timonier barbu d’un navire dont il ne connaît ni le pilotage, ni l’équipage (pas de harponneurs ni de flèches) et qui hésite entre bâbord et tribord (la droite ou la gauche ?), sorte d’avatar incertain de Nemo, pas le poisson du dessin animé mais le capitaine du Nautilus, mollusque céphalopode avant d’être le sous-marin de Jules Verne ; Emmanuel Macron, fidèle à son personnage balzacien de jeune premier de la classe pris dans son costume de communiant-communiquant, entre Jupiter et Mercure, entre de Gaulle et Giscard d’Estaing, puisant de l’un la posture historique du Grand Homme, de l’autre des manières de petit marquis vendant des cravates à la sauvette.

 

 

 

L’équipage est à la mesure du tandem et à l’échelle du fiasco.

Retour à la case départ

 

 

 

 

 

 

Ce qu’il y a d’amusant dans les tergiversations gouvernementales – j’ai hésité à employer le mot «  contorsions » - c’est que nous allons nous retrouver le 11 mai dans la même situation – sinon pire- qu’à la mi-février.

Amusant et tragique à la fois, tant le comique et la farce sont proches quand le seul moyen de la supporter est de faire un écart salutaire devant la catastrophe.

Pour la regarder être.

J’ai pleuré jusqu’à mes 12 ans devant les malheurs de Laurel.

Et j’ai toujours un pincement au coeur quand je ris de ses mésaventures.

 

 

 

Donc le 11 mai, déconfinement , masques, gestes barrières etc.

Masques surtout, qui nous auraient évité la catastrophe sanitaire et sociale des premiers mois, n’en déplaise à mme Sybeth.

 

 

 

Combien de lits en hôpital et de places en réanimations seront libres à cette date du 11 mai. Il est trop tôt pour le dire.

Il n’est pas certain qu’il y en ait plus que début mars.

 

 

 

Avec cet avantage pour l’équipe Macron que les morts ne pourront pas mourir deux fois et que du côté des EHPAD, on peut dire que le pire- c’est à dire l’écrêtage statistique- sera passé.

 

 

 

Il ne faut pas compter sur l’auto-vaccination – le « matelas » de séro-positifs collectif – même en multipliant par 10 le nombre de personnes séro-positives au virus au 11 mai.

Il faut espérer pour les soignants que les mesures prises d’un déconfinement progressif et adéquat puisse leur permettre de se reposer. Et que les habitants des grandes villes puissent migrer – au moins ceux qui ne seront pas au travail – dans des régions préservées (ce que firent heureusement de nombreux habitants de la région parisienne en fuyant leur région aux hôpitaux saturés en mars) où les conditions d’admissions et de soins hospitaliers restent largement positifs.

 

 

 

Et que faire, si on les tests positifs, des porteurs-sains dont il apparaît qu’ils sont plus nombreux que prévus ?

 

 

 

On voit que l’équation n’est pas simple et que les mesures prises pendant le confinement l’étaient uniquement pour freiner l’arrivée des cas graves -les autres sont restés chez eux – dans les hôpitaux, pas du tout préparés, malgré les alertesrépétées de certains spécialistes. Notamment celle en 2016 du alors conseiller de m. Macron en matière de santé publique M. Salomon, bien connu depuis !

Si gouverner, c’est prévoir, nous sommes là devant un cas d’incompétences des plus hautes autorités- j’en exclus les élus de terrain, trompés une fois de plus par les technostructures, les énarques sont partout, j’imagine que même la dame-pipi (ou le monsieur) de l’Assemblée Nationale est sortie de l’ENA.

Et le Bureau des Légendes des Services Secrets français (la DGSE)- pas plus que ceux des autres pays occidentaux, CIA compris- n’a su envoyer ses meilleurs agents en Chine puisque aucune information concernant le virus qui courait là-bas au moins depuis décembre 2019 ne leur est parvenue.

Un fiasco à étages !

 

 

Les écrivains de SF qui se sont déjà penchés sur le problème bien avant la catastrophe vont se régaler, tout comme les scénaristes de série qui ont là matière à méditer.

 

 

 

Edouard Philippe en maître timonier barbu d’un navire dont il ne connaît ni le pilotage, ni l’équipage (pas de harponneurs ni de flèches) et qui hésite entre bâbord et tribord (la droite ou la gauche ?), sorte d’avatar incertain de Nemo, pas le poisson du dessin animé mais le capitaine du Nautilus, mollusque céphalopode avant d’être le sous-marin de Jules Verne ; Emmanuel Macron, fidèle à son personnage balzacien de jeune premier de la classe pris dans son costume de communiant-communiquant, entre Jupiter et Mercure, entre de Gaulle et Giscard d’Estaing, puisant de l’un la posture historique du Grand Homme, de l’autre des manières de petit marquis vendant des cravates à la sauvette.

 

 

L’équipage est à la mesure du tandem et à l’échelle du fiasco.

 



25/04/2020
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