toupour le zooh

je voudrais qu'on m'explique : l'euro

La situation financière de la Grèce, puis celle de l'Espagen et bientôt de l'Irlande et du Portugal inquiète le monde de la finance internationale et les ministres des finances des états de l'Union, partant : Nous.

Or, les financiers internatioanux n'ont aucun lieu de s'inquiéter : l'expérience démontre que quand ces crocodiles plus qu'inutiles, malfaisants, se sont gavés, et, repus, accumulent, comme des satrapes alcooliques, des erreurs, ce sont les états qui paient la note, donc les citoyens-consommateurs.

Prêtant l'oreille aux sirènes des éconimistes (BFM), j'ai entendu les uns pester contre l'euro fort ( qui limite nos exportations) les autres (qui sont parfois les mêmes, mais le monde des experts a de ces étrangetés, on l'a vu pendant les moments forts de la crise)s'inquiétant de sa baisse.

C'est trop facile et? certainement, il y a des experts qui se trompent, au moins de moment.

Car si actuellement, le marché porte à "descendre " l'euro, ce ne peut être que positif pour nos exportations et à même de limiter nos importations, notamment de Chine, dont les produits automatiquement deviendront plus chers : alors laissons les financiers nuire à l'euro, mieux encourageons les. Nous pourrons ainsi protéger la zone euro, nos activités industrielles et peut être, par la mise sur le marché d'obligations européennes croisées (les états riches achetant les obligations des étas en difficultés) pourront nous créer une zone solidaire où les états fragiles, jusqu'à ce jour attachés à une politique libérale et antisociale qui les favorisait -en plus des subventions européennes - seraient amenés à mieux comprendre les politiques des états d'origine de l'Union, notamment la France et l'Allemagne.

Quant aux tenants de l'euro fort, qu'ils m'expliquent ce que nous avons à y gagner : des voyages moins couteux aux Etats-Unis? un pétrole et un gaz à moindre prix? Il faudrait une dévaluation importante de l'euro pour que cela se voit à la pompe, et cela arrangerait peut être les gouvernements, qui pourraient envoyer aux calendes grecques la taxe carbone, qui va générer une usine à gaz ubuesque et sans précédent : une augmentation "naturelle" des hydrocarbures serait bien préférable à une taxe imbécile et impopulaire, et pouraiit se justifier par une relance des exportations et une protection des tissus industriels.

On voit par cette hésitation que nos gouvernements ont mis la charrue avant les boeufs : créant une monnaie unique sans garde-fou, sans imagination, et sans solution préétudiée en cas de problèmes, ils ont laissé, comme les mariés leur casserole attachée au pare-choc, trainer derrière eux les problèmes beaucoup plus urgents que la monnaie : les décisions sociales d'une union désunie sur l'essentiel , un semblant d'unité politique, des objectifs économiques communs.

En laissant en place une commisson européenne formée d'anarchistes (le néo-libéralisme est un anarchisme de droite) sans vision et sans envergure, en mettant en place le traité boiteux de Lisbonne -et ce pendant la crise, qui par les faits, en contredisait les objectifs et les méthodes- les députés européens de droite comme de gauche ont fait preuve à la fois de légéreté et d'insuffisance. on attend leur démission.




08/02/2010
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