Airbus A320 : une parabole ?
Crash de l'Airbus A320 « Mannheim »
L'article qui suit est simplement une hypothèse
Il ne s'agit pas ici de dénoncer ou d'accuser mais de s'interroger sur ce qu'à voulu « dire » le copilote de l'A320 en se suicidant sur son lieu de travail (ce n'est jamais anodin) en entraînant avec lui près de 160 personnes.
Les dernières révélations concernant le copilote allemand Andréas Lubitz de l'Airbus allemand de la compagnie Germanwings, filiale de la Lufthansa méritent réflexion. Nul besoin de seconde boîte noire aujourd'hui pour connaître le scénario de la catastrophe.
Mais la troisième boîte qui aurait pu nous en livrer le secret est maintenant introuvable : il s'agit bien sûr de la boîte crânienne du copilote. Et de son contenu : le cerveau du copilote.
Pourtant, certains signes sont significatifs : la tendance suicidaire du jeune homme et depuis peu le témoignage de l'ex-fiancée du copilote :
« Un jour, je ferai quelque chose qui changera le système et alors tout le monde connaîtra mon nom et s'en souviendra" lui a-t-il confié.
Dans l'esprit d'une personne peu équilibrée, ce genre de paroles pèse par ce qu'elle contient de menaces. Qu'on rapprochera de celle de l'assassin de John Lennon : laisser une trace dans l'Histoire en commettant un acte symbolique fort.
Nous sommes avec cette catastrophe devant une parabole écrite par un esprit dérangé qui veut commettre un acte symbolique face au monde et à son « système ».
Prenons les indices un à un :
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un avion allemand par sa fabrication (Airbus faisait partie du groupe Daimler ; il est assemblé à Hambourg), ses dirigeants, et une partie de sa capitalisation.
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la compagnie qui l'afrête ( Germanwings comme son nom l'indique) filiale de la Lufthansa.
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Le nom de l'appareil « Mannheim »
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un commandant de bord allemand, originaire de Düsseldorf ;
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un copilote allemand, Andréas Lubitz
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des passagers européens, pour près de la moitié venus du sud de l'Europe soit 131 passagers européens sur 144.
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Un massif européen central emblématique à la fois de l'Union et des ses frontières.
D'Andréas Lubitz, on trouvera peut être dans son éducation, ses fréquentations, ses lectures les éléments qui lui ont servi -c'est une hypothèse- à construire cette histoire folle :
Celle d'un jeune Allemand qui voulait montrer physiquement l'aveuglement répété de l'Allemagne et de ses gouvernements depuis le début du XXème siècle à jeter l'Europe, à coups de « diktats », « dans le mur », une catastrophe qui jette périodiquement des européens dans la misère, par une gestion aveugle et égoïste des intérêts dits nationaux qui ne sont que ceux d'une caste capitaliste d'industriels inamovibles.
« quelque chose qui changera le système »
Dans un esprit brumeux cela donne :
Un avion allemand, des européens innocents, un commandant de bord écarté, un copilote dérangé, ça ne vous rappelle rien ?
AIRBUS A320 : l'histoire, pour Andréas Lubitz, de l'Allemagne depuis un siècle ?
Une parabole : un signal ?
Une hypothèse qui mérite réflexion, non ?